h3s.267

les yeux ne cillent pas

ce qui est flue tout proche
le bruit de l’outil crie
un oiseau de proie haut

en soi quoi vient entendre

le chant sans que jamais
la demeure ne cède
nue de l’ombre à la crue

la lumière trop haute


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :