pour ouvrir les nuits brèves
le corps va sans sommeil
au plus près d’être là
une chose du temps
ce sont jours immobiles
la chaleur blanche pèse
et la soif de toujours
se révèle sans nom
et puis la pluie enfin
pour ouvrir les nuits brèves
le corps va sans sommeil
au plus près d’être là
une chose du temps
ce sont jours immobiles
la chaleur blanche pèse
et la soif de toujours
se révèle sans nom
et puis la pluie enfin
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