là en passées de soirs
peu à peu on éteint
le rien des voix les pleurs
d’un enfant bruit la vie
la lumière d’été
un babil sur le monde
dans aucune autre langue
que celle des mots — elle
ne tient qu’aux herbes hautes
là en passées de soirs
peu à peu on éteint
le rien des voix les pleurs
d’un enfant bruit la vie
la lumière d’été
un babil sur le monde
dans aucune autre langue
que celle des mots — elle
ne tient qu’aux herbes hautes
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