le dehors qu’on entend
la parole sans nombre
nue d’être au jour le jour
réduite aux gestes simples
la pluie et le vent froissent
un tissu sur lequel
on vient couper du pain
et les voix se sont tues
le bris soudain de verres
le dehors qu’on entend
la parole sans nombre
nue d’être au jour le jour
réduite aux gestes simples
la pluie et le vent froissent
un tissu sur lequel
on vient couper du pain
et les voix se sont tues
le bris soudain de verres
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