ici sans parole
une aube plus douce
l’erre du vent simple
et l’été bénin
des feuillages bruissent
sans nul autre songe
qu’un martinet noir
le soir égaré
dessus les roseaux
ici sans parole
une aube plus douce
l’erre du vent simple
et l’été bénin
des feuillages bruissent
sans nul autre songe
qu’un martinet noir
le soir égaré
dessus les roseaux
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