des mots que le vent mêle
un dire pour les pierres
les ronces recouvrent — on renonce
déjà l’ouvert d’écrire
il n’a que ce parler
et pour obole rien
pas même ce fruit pauvre
ni un voile de brumes
le toujours étranger
des mots que le vent mêle
un dire pour les pierres
les ronces recouvrent — on renonce
déjà l’ouvert d’écrire
il n’a que ce parler
et pour obole rien
pas même ce fruit pauvre
ni un voile de brumes
le toujours étranger
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