quel arbre ne penche
le monde à l’épure
secrète la nuit
— tout l’espace égare
delà soi le soir
qui suit sans un bruit
le chemin de sable
une ombre traverse
— l’odeur des tilleuls
quel arbre ne penche
le monde à l’épure
secrète la nuit
— tout l’espace égare
delà soi le soir
qui suit sans un bruit
le chemin de sable
une ombre traverse
— l’odeur des tilleuls
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