on sait que devant soi
la dune pas à pas
se défait dans le temps
jusqu’aux vagues dernières
rien ne tient l’être comme
la brume des matins
a un bouquet de feuillages
le lierre sur l’écorce
l’obscure nuit sans songes
on sait que devant soi
la dune pas à pas
se défait dans le temps
jusqu’aux vagues dernières
rien ne tient l’être comme
la brume des matins
a un bouquet de feuillages
le lierre sur l’écorce
l’obscure nuit sans songes
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