la couleur n’a plus d’ombres
la pierre vient éteindre
chacun de ses reflets
seules les flaques vivent
on sait les gris au vent
de loin en loin épars
les feuillages d’été
se penchent ver les prés
et au bruit de la pluie
la couleur n’a plus d’ombres
la pierre vient éteindre
chacun de ses reflets
seules les flaques vivent
on sait les gris au vent
de loin en loin épars
les feuillages d’été
se penchent ver les prés
et au bruit de la pluie
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