h3s.322

ici d’encore l’aube

quelques oiseaux s’éveillent
d’autres frôlent le loin
où les heures se figent

et quelle un souffle la mémoire

on vit parmi cela
et ce qui est passage
oeuvre puis disparaît

dans la rosée du jour


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :