_ _ 12

on sait ici le peu
être ce que le vent
n’emporte pas plus loin
que la flaque de ciels

et la dernière averse
laisse parmi la boue
un feu de couleurs nues
où les soirs vont s’éteindre


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :