cela d’ombre et lumière
le sable des allées
peu à peu disparaît
et devient terre noire
la friche où l’on se perd
jadis le lit d’un fleuve
porte au creux de mains nues
la bleuïté des eaux
même parmi la ronce
cela d’ombre et lumière
le sable des allées
peu à peu disparaît
et devient terre noire
la friche où l’on se perd
jadis le lit d’un fleuve
porte au creux de mains nues
la bleuïté des eaux
même parmi la ronce
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