quelque chose attend
au dernier quartier de lune
l’aube rouge toute
et puis le jour grêle froid
la lumière absente
renoue l’erre ample des nuits
la statue du porche
ouvre les yeux en silence
quelque chose attend
au dernier quartier de lune
l’aube rouge toute
et puis le jour grêle froid
la lumière absente
renoue l’erre ample des nuits
la statue du porche
ouvre les yeux en silence
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