feuillage la parole
le vent de l’aube glace
les mains nues dans la nuit
encore sur le monde
juste avant le silence
on heurte quelle pierre
sans que dire jamais
ne soit au plus juste être
ici où l’on demeure
feuillage la parole
le vent de l’aube glace
les mains nues dans la nuit
encore sur le monde
juste avant le silence
on heurte quelle pierre
sans que dire jamais
ne soit au plus juste être
ici où l’on demeure
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