h3s.386

le vent tout soudain lève

les arbres en dormance
peu à peu se dépouillent
au plus net de la forme

un voile là-bas tremble

on sait le temps venu
pour le règne de nuits
longues et lentes heures

où la brume a demeure


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :