entre le vent et soi
il n’y a plus rien autre
que ces arbres à nu
sur l’éblouie des eaux
peu à peu on rejoint
sans loin les cieux bas gris
où la lumière gèle
ce qu’elle vient toucher
entre le vent et soi
il n’y a plus rien autre
que ces arbres à nu
sur l’éblouie des eaux
peu à peu on rejoint
sans loin les cieux bas gris
où la lumière gèle
ce qu’elle vient toucher
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