tout un monde ici dort
le devenir revient
au plus simple du corps
demeure le seul souffle
le rameau que la neige
une éclaircie parfois
vient luire comme d’être
elle l’éblouie toute
courbe ploie dedans le temps
tout un monde ici dort
le devenir revient
au plus simple du corps
demeure le seul souffle
le rameau que la neige
une éclaircie parfois
vient luire comme d’être
elle l’éblouie toute
courbe ploie dedans le temps
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