la lumière sur les eaux
devant soi chante l’hiver
on sait cela qui fuit loin
et l’ombre dessous l’étrave
s’enroule toute au soleil
la barque de vivre va
un instant parmi le flot
filer le sillage nu
les yeux brûlent grands ouverts
la lumière sur les eaux
devant soi chante l’hiver
on sait cela qui fuit loin
et l’ombre dessous l’étrave
s’enroule toute au soleil
la barque de vivre va
un instant parmi le flot
filer le sillage nu
les yeux brûlent grands ouverts
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