la futaie toute obscure
il semble que le jour
attache à la nuit son
visage le silence
devant soi des feux d’ombres
qu’on accueille d’un geste
et cet hôte étranger
renaît à la chaleur
comme une aube s’inquiète
la futaie toute obscure
il semble que le jour
attache à la nuit son
visage le silence
devant soi des feux d’ombres
qu’on accueille d’un geste
et cet hôte étranger
renaît à la chaleur
comme une aube s’inquiète
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