un feu dessous les ombres
l’eau mêle la brûlure
d’aller seulement où
rien ne l’arrête plus
et le fleuve se mêle
plus loin à son tour d’être
le flux toujours même et
autre la main du temps
parfois agite ici
les rives et les terres
meubles plus que le sable
la mémoire n’est pas
dans la terreur du jour
mais la voix de quoi passe
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