on va et c’est toujours
devant soi une terre
sèche et nue qui attend
le printemps et les pluies
mais l’ombre du terrible
plane dans les ciels rouges
çà et là des éclairs
strient la forme flottée
on va et c’est toujours
devant soi une terre
sèche et nue qui attend
le printemps et les pluies
mais l’ombre du terrible
plane dans les ciels rouges
çà et là des éclairs
strient la forme flottée
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