h3s.415

quelles les voix ici

sur la place une foule
la ville toute entière
s’ébroue hors de ses ombres

saisies dessus le vide

on est soi — l’étranger
sans aucun regard qu’être
le souffle rythme un songe

rien autre ne traverse


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :