un à un les ciels
se voilent comme se ferme
l’horizon et le loin
sans que de l’orage
nul ne soit un autre signe
que la nuée plus sombre
là-bas qui s’avance
parmi un silence lourd
un à un les ciels
se voilent comme se ferme
l’horizon et le loin
sans que de l’orage
nul ne soit un autre signe
que la nuée plus sombre
là-bas qui s’avance
parmi un silence lourd
Votre commentaire