jour sans nul autre dire
que devant soi les terres
sèches
d’être de trop longtemps
des parcelles de songe
dedans son impossible
germe
que la poussière couvre
jour sans nul autre dire
que devant soi les terres
sèches
d’être de trop longtemps
des parcelles de songe
dedans son impossible
germe
que la poussière couvre
Votre commentaire