delà la roche grise
des terres pauvres — nues
et l’ombre de grands bois
paisibles sous le vent
un liseré d’été
le troupeau sur les chaumes
flue comme une mémoire
ancienne et vraie la vie
implose chaque soir
delà la roche grise
des terres pauvres — nues
et l’ombre de grands bois
paisibles sous le vent
un liseré d’été
le troupeau sur les chaumes
flue comme une mémoire
ancienne et vraie la vie
implose chaque soir
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