comme étranger en soide soi le plus lointain
depuis la rive
des plongeurs rejoignent l’eau verte
de toujours sous les ponts
le songe ne sait pas
une ombre pour mémoire
le temps d’être s’enroule
à un reflet de ciels
où passe l’éphémère
comme étranger en soide soi le plus lointain
depuis la rive
des plongeurs rejoignent l’eau verte
de toujours sous les ponts
le songe ne sait pas
une ombre pour mémoire
le temps d’être s’enroule
à un reflet de ciels
où passe l’éphémère
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