sonne_11

la faux est passée ici
où la terre et l’eau se mêlent
delà le dessein des vents
un rien de poussière vole
la chaleur et la mort jouent
de toujours sous les yeux même
la vie toute une merveille
cruelle parfois aussi
aimante tendre et amère
la rivière file verte
rejoindre le cours des fleuves
les rives à nu sont noires
on ne voit que trop le sable
chercher aussi le repos


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