frm_10

quel temps parcourt les lointains
après une averse d’aube
le rien des souffles paraît
comme _ une brume de mondes choses
çà et et là tout disparait
du paysage qu’estompe
l’air des matins clairs et froids
bientôt ce seront les nuits
sous les ciels des hivernages
le lent travail des gelées
à même la terre noire
sans même plus haute fin
que reprendre de toujours
le nouveau sacre de vivre


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