sonne_25

quels étés en retours hauts
dans les ciels et la mémoire
qui file l’image au loin
des vergers et de l’enfance
ces prés à jamais oublient
quelque présence plus haute
que celle prise à la cime
de vieux arbres — une foudre
ici de toujours absente
le bruit de la faux non loin
ici d’où il faut partir
une fois le terme échu
mais sous les yeux la rosée
brille — elle l’autre qui passe


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