invz_4

pierre et c’est sans image

celle que le fleuve laisse
sur la rive neuve après
les crues et l’hiver

un noyau de jour sans ciel

tombe au miroir sans tain
des granites noirs froids
malgré l’herbe rase

sans plus rien ressentir que les larmes
on va en soi où les larmes
insensible


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