en allées_41

on tombe sans un cri
comme on rêve une eau vide
terne où cela s’enroche
et craque et s’effondre
et disparaît
on sait les nuits sans ciels
où disparaître
et la neige
et le gel
la voix nue s’amuït
trop pauvre d’être
sans chant ni souffle
quand le seul dire
échoue et renonce
au mouvement des cimes


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