en allées_48

un monde et la boue
autour sans autre voie
à même les flaques
seuls les reflets peuvent aller
légers comme des poussières
des oiseaux noirs traversent
et l’image et les nuages ciels
et le gris sans fin
le béton mort contient
pour un temps encore
les hautes eaux du fleuve
plus loin nul ne sait
quel l’horizon
ni la limite des ciels


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :