en allées_49

on sait les voix qui s’enrouent
et la nuit toute qui vient
déferler
au long de grands vents
on sait l’invisible forge
être le creuset des aubes
et la couleur vient haute
elle la sans nom
ne connaître que cet autre
le silence
et pour seule fin
l’heure naissante approuve
la brume trouble et le geste
de nouer ses rets aux ciels


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :