en allées_58

tout a changé des lignes
qui habillent la friche
au plus proche des eaux
des arbres sont tombés
qui incarnaient toujours
la permanence même
ou le lointain du chant
autre que le silence
de tout ce qui a voix
quoi reste si ce n’est
un sable sur la rive
le reflet sur le fleuve
que la lumière brûle
d’une plus haute absence


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