en allées_68

le vent toujours et l’hiver
plus loin la digue et le temps
au miroir du fleuve quels
chemins cela qui s’efface
la neige éparse ne couvre
que l’obscur de qui est
songe et mouvant et fracas
d’écume la chute d’eau
la lumière sans une ombre
remonte vers quelle source
que la falaise a celée
sur les roches ça et là
de rares branches s’éploient
vers ce rien de ciels


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