diz’1_ 17

le soir
un oiseau dans le jardin
pauvre chante
mais pour qui
sinon le jour qui n’est plus
le vent se lève
la grisaille enfin se défait
on voit poindre ça et là
un peu de ciel
au devant des étoiles

on sait l’obscur où une flamme se consume


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :