l’ombre du biloba
çà et là le soleil
parmi perce la trouée des feuillages
les voix des passants se perdent
dans ce qui bruit le seul
sens pas de mots sinon
les plus simples signes
— un sable en mouvement
dans les eaux phréatiques
insensé comme tout
30 avril 2024
Diz’1_319
Par Jean-Yves Fick
Cette entrée a été publiée le mardi 30 avril 2024 à 16 h 11 min et publié dans Icaria. Vous pouvez suivre les commentaires liés à cette entrée par flux RSS 2.0.
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Parution déc 2014
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