Diz’1_323

des voix sans lointains peut-être
ou des chants d’oiseaux
puis rien
le jour bruit qui attend
les passées de quels songes
on sait le feuillage tremblé
de et l’absence outre quelques mots l’absence
pour traverser les heures
— le temps vide de tout
— le temps — — pour demeure précaire un souffle continu
sinon d’être le temps


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