le soir comme_un autre
le souffle plus calme
et les yeux brûlés
vifs de tant de riens
— temps — et soi au loin
au creux de la main
un sable s’écoule
on ne retient rien
du jour– qui est-on
le soir comme_un autre
le souffle plus calme
et les yeux brûlés
vifs de tant de riens
— temps — et soi au loin
au creux de la main
un sable s’écoule
on ne retient rien
du jour– qui est-on
Votre commentaire