rien d’un monde à l’autre
le jour semble perdre
ce qui est son erre
et pourtant demeure
ce seul continu
le miroir des ciels
à jamais ouvert
déverse l’oubli
des larmes la pluie
rien d’un monde à l’autre
le jour semble perdre
ce qui est son erre
et pourtant demeure
ce seul continu
le miroir des ciels
à jamais ouvert
déverse l’oubli
des larmes la pluie
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