quel souffle pour aller
la route va s’escarpe
et bientôt ce n’est plus
qu’une piste de terre
devant soi vers la nuit
la lisière plus sombre
affranchit les regards
puis on entre au silence
dont la main nous recueille
quel souffle pour aller
la route va s’escarpe
et bientôt ce n’est plus
qu’une piste de terre
devant soi vers la nuit
la lisière plus sombre
affranchit les regards
puis on entre au silence
dont la main nous recueille
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