h3s 728

on ne ressent rien
saurait voir prendre

ici quelque souffle
reprend au silence
seul ce qu’il faut d’air

à peine cela

qui n’est rien delà
un bourgeon que ferme
le plain-chant des mondes

— la décrue des jours


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :