le petit matin
on sait tout soudain
la fatigue longue
comme le temps creuse
pâle et tard venu
le cal dans les mains
un sillon de rides
au droit du visage
brusque seul le vent
le petit matin
on sait tout soudain
la fatigue longue
comme le temps creuse
pâle et tard venu
le cal dans les mains
un sillon de rides
au droit du visage
brusque seul le vent
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