devant soi nulle terre
et les mondes se mêlent
infinis de méandres
rien ne peut retenir
la route que submerge
tout cela qui s’absente
et le gué s’est ouvert
d’être quoi disparaît
un seul reflet de ciel
devant soi nulle terre
et les mondes se mêlent
infinis de méandres
rien ne peut retenir
la route que submerge
tout cela qui s’absente
et le gué s’est ouvert
d’être quoi disparaît
un seul reflet de ciel
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