h3s.131

devant soi nulle terre

et les mondes se mêlent
infinis de méandres
rien ne peut retenir

la route que submerge

tout cela qui s’absente
et le gué s’est ouvert
d’être quoi disparaît

un seul reflet de ciel


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :