outre chaque route
quelle part de souffle
repose dans l’ombre
juste sur la roche
c’est sans fin — errer
les grand bois ouverts
aux sols écorchés
vifs — les vents s’emportent
parmi le seul vide
outre chaque route
quelle part de souffle
repose dans l’ombre
juste sur la roche
c’est sans fin — errer
les grand bois ouverts
aux sols écorchés
vifs — les vents s’emportent
parmi le seul vide
Votre commentaire