ce qu’emporte le fleuve
devant ce sont les heures
ô les toujours présentes
et terribles figures
des branches dans le vent
le jour presque immobile
sous la brusque furie
de ce qu’ici dessine
un bourgeon de ciels gris
ce qu’emporte le fleuve
devant ce sont les heures
ô les toujours présentes
et terribles figures
des branches dans le vent
le jour presque immobile
sous la brusque furie
de ce qu’ici dessine
un bourgeon de ciels gris
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