_ _ 52

c’est d’encore la nuit
la pénombre d’un fait seuil
des regards pourtant veillent
au passage des mondes

le givre dans le pré
accroche la lumière
à la tige fragile
d’une herbe folle sèche


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :