dans les mains de chaque aube
le premier cri d’oiseau
et c’est avant le jour
la vie toute éveillée
la brume d’été file
des comètes errantes
l’eau de toute parole
égare dans les ciels
ces songes comme absents
dans les mains de chaque aube
le premier cri d’oiseau
et c’est avant le jour
la vie toute éveillée
la brume d’été file
des comètes errantes
l’eau de toute parole
égare dans les ciels
ces songes comme absents
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